En relais de l'appui digital, on peut utiliser des petites ouates hémostatiques et cicatrisantes vendues en pharmacie

C’est Lundi, il fait beau, le soleil brille et les oiseaux chantent. Ou du moins, les pigeons roucoulent en tartinant de fiente le paysage. Je ne suis pas convaincu par la pertinence de mes efforts de la matinée, alors, plutôt que d’user la planète pour rien, et afin de tuer le temps en attendant l’heure de quitter l’open space pour une séance de VMA, je glande. Une centaine de mots en plus dans une fanfic qui n’avance pas assez vite, un peu de rangement sur mon PC…

Je n’ai pas encore cherché à prendre rendez-vous chez le psy. Je ne suis même pas monté sur le pèse-personne ce matin.

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C’est toujours Lundi, la journée (de travail) touche à sa fin. J’ai plutôt bien travaillé, et quand j’ai glandé, c’est pour avancer de cinq cent mots ma fanfic. J’ai presque plié le chapitre en cours. Et ce soir, il faut que je travaille sur une demande qu’un autre auteur m’a fait pour une scène de cul invoquant Fleur Delacour exprimant son enthousiasme dans une scène de cul. Ce n’est pas si simple (à moins de faire dans la vulgarité, dans la ligne du oh oui oh oui défonce-moi usé jusqu’à la trame, mais franchement, vous projetez Clémence Poésy dans du porno de mauvaise facture ?)

Mon ambition adolescente de devenir écrivain est encore bien bien loin, mais au moins, je « joue à » et j’y prends du plaisir, c’est déjà ça.

Quel rapport avec le titre du billet ? Aucun. Absolument aucun. Mais c’est le copié/collé d’une page Doctissiquelquechose que je me suis envoyé pour mémoire (passer par la pharmacie), et découvrir ça dès potron-minet dans ses courriels est une expérience.